Lumière bleue
Benoît Louppe,
Directeur du bueau Etudes & Vie
Utilisateur depuis 2010 des lunettes Prisma Bluelightprotect
Les lunettes Prisma bluelightprotect ont été développées par le médecin et photobiologiste allemand Dr méd. Alexander Wunsch. Il vous garanti le respect des normes scientifiques les plus hautes.
Explications données par l’expert allemand Alexander Wunsch
sur la qualité des lentilles prisma bluelightprotect (sous-titré en français)
Il est temps de protéger vos yeux: les écrans d’ordinateur et les lampes économiques (LEDs et FLC) ne sont pas aussi inoffensifs qu’on le croit.
Les scintillements des fréquences qui sont à peine perceptibles à l’œil nu et le nombre important de rayonnements optiques et électromagnétiques gênent notre vision et sont fort probablement préjudiciables à nos yeux. En particulier les écrans plats TFT et les fréquences du mercure rayonnent contenant une forte proportion de lumière bleue. Cette proportion anormale de lumière bleue ne provoque pas seulement une vision plus difficile, mais provoque aussi un effet dommageable sur les processus métaboliques observés lors d’expériences scientifiques sur des cellules de l’œil.
Élégant mais nuisible! Est-ce que les écrans plats peuvent nuire à vos yeux? PDF (0,33 MB)
Un travailleur peut facilement être exposé durant 4000 heures et plus aux rayonnements lumineux et du mercure rien qu’en une année. Par conséquent, il est indispensable de protéger vos yeux avec des lunettes protection pour ordinateur PRiSMA®! À cela s’ajoute toutes les lampes économiques ou les lampes de bureaux qui produisent les mêmes problèmes.
Pourquoi une protection contre le bleu BlueLightProtect ?
Spectre de la lumière naturelle et d’une lampe à décharge fluorescente
La seule lumière biocompatible: les ampoules halogènes
Il existe depuis des années des ampoules halogènes dichroïques 230 volts ou de basses tension 12 volts. Aujourd’hui la production des ultra-violets nocifs pour la peau et les yeux sont arrêtés généralement par un filtre anti U.V formé par une plaque en verre située devant. Certaines sont mêmes économiques et de classe D avec +- 30 % d’économie d’énergie et ne produisent presque pas de lumière bleue. Pour les yeux des personnes qui travaillent devant des écrans plats et dans des locaux professionnels, il est préférable d’utiliser ces ampoules. De plus, ces ampoules ne polluent pas l’environnement comme les modèles fluocompactes qui contiennent en plus du mercure. Un conseil si vous êtes malades des économies d’énergie, faites au moins un mélange d’ampoules halogènes et économiques afin d’obtenir des spectre de couleurs de lumières les plus riches possibles.
Spectre d’une ampoule halogène à filament
La lumière bleue présente dans les écrans à LED et les ampoules à LED
Les écrans plats à LED émettent également une forte proportion de lumière bleue mais spécialement les ampoules d’éclairage. C’est surtout cette dernière, en éclairage direct dans les yeux qu’il faut éviter. L’éclairage indirect présenterait moins de problèmes. On soupçonne cette lumière de produire des dérèglements de l’horloge biologie interne (glande pinéale) avec des conséquences métaboliques, thymiques (troubles de l’humeur, dépression…), troubles du cycle veille/sommei etc. A cela s’ajoute les fluctuations de la lumière et d’une grande amplitude (scintillement ou effet stroboscopique) à cause de la très faible rémanence qu’elle possèdent. Celle-ci n’est pas perceptible par l’oeil mais bien par le système nerveux avec des effets indirect sur la santé: crise d’épilepsie, baisse des performances visuelles, stress, fatigue (source: A Review of the Literature on Light Flicker: Ergonomics, Biological Attributes, Potential Health Effects, and Methods in Which Some LED Lighting May Introduce Flicker, IEEE Standard P1789 (2010)).
Spectre d’une LED blanche (puce bleue+phosphore jaune)
Un danger pour la rétine ?
Une personne qui accomplit un travail sur écran, regarde directement la source de lumière durant longtemps. Les rayonnements non filtrés et limités en fréquence perturbent la vision normale et favorisent les pathologies de la macula (DMLA-dégénérescence maculaire) appelé aussi « tache jaune » au niveau de la paroi arrière du globe oculaire où se trouve de la lutéine. La lutéine présente en concentration élevée dans la macula, une petite zone de la rétine responsable de la vision et de l’acuité visuele. Il est connu que la lutéine filtre la lumière bleue (UV) qui agresse les photorécepteurs de l’euil, avant qu’elle ne pénètre dans le tissu de la rétine et de la macula. La lentille filtre les rayons ultraviolets mais pas la lumière bleue. Cette proportion de lumière bleue peut, à long terme, conduire à des dommages irréversibles tels ceux observés dans la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), une maladie incurable de la « tache jaune ». De nombreuses études scientifiques sur la dégénérescence maculaire ont prouvé que la lumière bleue peut être nocive pour les yeux. Les radicaux d’oxygène endommagent le métabolisme des cellules de l’œil sous l’influence de la lumière bleue.
La lumière bleue empêche la vision!
La lumière bleue se brise plus facilement que la lumière rouge. En se concentrant sur les différents niveaux de perception de l’œil, on observe que la lumière bleue de grande longueur d’onde produit des aberrations chromatiques et des visions floues. C’est pourquoi les pilotes et les athlètes portent souvent des lunettes jaunes car elles filtrent la proportion de lumière bleue non souhaitée, ce qui accroît l’acuité visuelle et la nettetée du contraste. Souvent, les patients souffrant de « DMLA » obtiennnent des prescriptions de lunettes avec des lentilles jaunes, afin de protéger leur macula de la lumière bleue destructrice.
La part trop importante de lumière bleue produit des aberrations chromatiques et une vision floue.
Les filtres des lentilles PRISMA PRO et LITE éliminent le bleu.
Les PRISMA LITE améliorent en plus l’acuité visuelle et la perception du contraste.
Ceci est le résultat de la filtration de la lumière bleue entre 400 et 500 nm produite par un écran plat à LEDs
avec l’usage des lentilles filtrantes PRISMA PRO
Troubles de l’équilibre hormonal
En raison de sa forte proportion de lumière bleue dans le cas des ampoules à LEDs et de spectre (raie spectrales) du mercure en plus dans le cas des éclairages à lampes fluocumpactes, cette lumière affecte également l’équilibre hormonal d’une manière négative, en réduisant la production de mélatonine et le renforcement de la production de cortisol, hormones du stress et de l’ACTH. Les troubles de l’équilibre hormonal peut entraîner des maladies causées par la civilisation telles que les maladies cardio-vasculaires, les troubles métaboliques, ainsi que des troubles du système immunitaire, cancer, diabète etc
Aucune chance pour la régénération cellulaire!
Près de la lumière rouge et près de l’infrarouge on est capable d’activer les cytochrome oxydases, des enzymes importantes pour le fonctionnement de la mitochondrie, de la guérison des plaies et qui favorise la réparation des dommages provoqués aux tissus à l’échelle cellulaire. Si on passe la plus grande partie de la journée dans une la lumière à base de mercure puis que l’on regarde les écrans d’ordinateur pendant longtemps, les yeux subissent une surcharge de lumière bleue. Comme cette lumière n’a pas les proportions de lumière rouge et d’infrarouge sensés améliorer la circulation sanguine, la régénération est souvent insuffisante.
Le contrôle de la luminosité n’offre aucune protection
Le réglage de la luminosité d’un écran d’ordinateur modifie la modulation et la largeur d’impulsion de la source de lumière à une certaine fréquence. Quand on réduit la luminosité de l’écran, les pauses entre les impulsions deviennent ainsi plus longues, mais la puissance des impulsions n’est pas réduite. Par conséquent, l’impulsion de lumière pénètre toujours les tissus de l’organisme à un niveau aussi profond, même quand l’œil perçoit une luminosité inférieure produite par une modification de la modulation de fréquence de l’écran. De plus, cela augmente la pulsation des signaux qui peuvent perturber l’équilibre biologique encore plus que des signaux permanents. Les écrans TFT cessent de « scintiller » uniquement lorsqu’ils sont éclairé au maximum d’intensité! C’est pourquoi il est recommandé de régler les écrans au maximum et de porter des lunettes spéciales de protection informatique Prisma®.
Protégez vos yeux !
Afin de protéger les yeux du danger mécanique et chimique, il est nécessaire et normal de porter des lunettes de protection. Mais le danger causé par un travail non protégé sur écrans et sous des lampes fluorescentes est souvent minimisé ou nié par la médecine classique, bien que les mécanismes mentionnés ci-dessus et qui sont nocifs ont déjà été démontré dans des expériences cellulaires. Qui veut prendre des risques et attendre que tout cela soit définitivement confirmé et reconnu dans quelques années ? Les recherches en médecine classique fournissent-elles toutes les preuves définitives? Toutes les recherches sont elles indépendantes lorsque l’on connait les enjeux économiques pour l’industrie ? Si vous avez déjà envie de vous protéger, aujourd’hui, nous vous recommandons de porter les lunettes Prisma ® de protection à titre de précaution.
Quelques Conseils judicieux:
- Eviter d’exposer les yeux à un système d’éclairage direct à base de LEDs et FLC de trop forte luminance. Evitez les LED blanches dont le spectre spécifique comporte un déséquilibre entre les longueurs d’onde 460 et 480 nm pourraient perturber l’horloge biologique et modifier la réponse pupillaire.
- Préférez toujours pour vous éclairer des lampes économiques (+-30% économie, classe D) halogènes claires G9 à filament. Elles n’ont pas de lumière bleue et possèdent un spectre continu comme celui de la lumière naturelle avec une forte proportion de rouge (et d’infrarouge). Ce qui est nettement mieux pour notre oeuil et la peau. De plus, cela reste une lumière chaude agréable et non toxique!
- Si vous êtes très attentif à la consommation des ampoules, préférez mélanger différentes ampoules d’éclairage afin d’avoir un mélange de spectre chromatique.
- Evitez de passer de longues heures devant un écran plat d’ordinateur TFT/LCD sans protection (lunettes filtrantes) et sous un éclairage direct à base de Led ou d’ampoules FLC, par exemple: des lampes de bureau situées juste au dessus de la tête. Préférez à nouveau les ampoules halogènes claires G9.
- Profitez au maximum de la lumière naturelle dans votre espace de vie et plus spécialement de travail. Eviter la journée d’occulter les fenêtres.
- Evitez à tout prix l’éblouissement en utilisant des réflecteurs adaptés (par exemple: vasques prismatiques) sur les éclairages qui vont éviter un éclairage direct des yeux.
- Ne pas avoir une approche de la problématique des ampoules d’éclairage uniquement sous l’angle de l’économie d’énergie, mais aussi sur les effets sanitaires à long terme de l’esposition à la lumière artificielle.
- Adopter un comportement prudent. Faire attention aux fait qu’actuellement les normes en vigueurs pour concevoir les installations d’éclairages à LED ou FLC ne respectent pas encore les conséquences sanitaires et que les professionnels (électriciens, éclairagistes, concepteurs d’éclairage) n’en tiennent pas compte. Les normes actuelles liées à la sécurité photobiologique sont insuffisantes aux éclairages à LED et ampoules FLC.
- Si une personne est ateinte de pathologie de l’oeil éviter de s’exposer inutilmement à des éclairages artificiels à LED ou FLC. Utiliser des lunettes filtrantes et préférer les ampoules à filament.
- Eviter l’utilisation de sources de lumières froides émettant une forte proportion de bleu dans des lieux fréquentés par les enfants ou dans les jouets, afficheurs lumineux, consoles et veilleuses nocturnes car leur cristallin laisse passer une beacoup plus grande proportion de lumière bleue que celui des adultes.
- Eviter d’exposer des patients malades de maladies oculaires ou cutanées qui consomment des médicaments photosensibilisants de s’esposer aux LED et ampoules FLC.
Les ampoules fluocompactes et les LEDs vont-elles réellement sauver la planète ?
On est en droit de se poser légitimement la question. Le consommateur est de plus en plus victime de la publicité menée par les industriels qui fabriquent les lampes économiques fluocompactes ou à Leds. Or le coût de ces ampoules souvent fabriquées à bas prix en Asie ou dans les pays de l’est est encore difficile à accepter par les consommateurs. Les associations écologiques n’ont pas pensé suffisamment à l’impact sanitaire sur l’homme. Seule l’économie d’énergie est mise en évidence. Mieux, les consommateurs croient qu’ils font une très bonne affaire pour leur portefeuille car ils vont économiser de l’argent et sauver la planète du réchauffement climatique en remplaçant chez eux toutes les lampes halogènes et à filaments par des ampoules fluocompactes ou à Leds. Les choses ne sont pas aussi simples et il faut nuancer cette approche. Lorsque l’on observe se qui se passe dans une habitation on se rend vite compte que ce n’est pas tout à fait la réalité. La plupart des ménages laissent pas moins de vingt consommateurs permanents branchés dans leur habitations: téléviseurs, ordinateurs, chargeurs de portables (un par personne), chargeurs de téléphones sans fils DECT, frigos et congelateurs, lave vaiselle, veuilleuses, diffuseurs de parfum, moteurs électriques sous les lits etc. etc. Le bilan énergétique et économique est loin d’être aussi bon que ce qu’on dit dans ces conditions. Alors le public pense avoir trouvé la solution à ses dépenses: le photovoltïque. Cela lui permet ainsi d’éviter encore de se remettre en question par rapport à ses choix et d’adopter une vrai comportement d’éco-consommateur responsable de l’environnement et de sa santé. L’économie d’énergie est indispensable dans le cadre d’une politique de développement durable, mais elle doit analysée dans sa globalité afin que le bilan soit réellement positif aussi pour la santé publique, la protection de notre planète et pas uniquement pour son portefeuille.
En savoir plus
Vous trouverez ici des documents scientifiques, des vidéos, des liens vers de nombreux sites et assications internationales, des scientifiques indépendants et chercheurs qui se préoccupent des effets de la lumière artificielles et des champs électromagnétiques dégagés par les ampoules FLC et les LED sur la santé.
Voici le rapport officiel français de l’ANSE ( Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) sur l’exposition à la lumière bleue dégagée par les LEDs:
La plupart des diodes (LED) actuelles mises sur le marché à des fins d’éclairage sont caractérisés par une grande proportion de bleu dans la lumière blanche émise. Elles peuvent par ailleurs avoir une très forte intensité lumineuse. Les principaux risques identifiés par l’Agence concernant l’oeil: effet toxiques de la lumière bleue et risques d’éblouissement.
Rapport ANSE-LED PDF (7,84 MB)
La Source: http://www.anses.fr
Vidéo du 25 octobre 2010 – journal de 20 h00′ sur la chaine TF1 (France) sur les danger des ampoules à LED sur les yeux:
L’avis du Docteur Francine Behar-Cohen, Directrice de recherche en physiopathologie des malades oculaires (ISERM):
« Cette lumière bleue a été identifiée depuis des années comme étant la plus dangereuse pour la rétine. Ici on va sur des expositions chroniques, donc on peut s’attendre à voir apparaître plus de dégénérescences maculaires, plus de glaucomes, plus de maladies rétiniennes dégénératives sur le long cours ».
Liens:
Le spectre du mercure dans la lumière !
Citation d’après Alexander Wunsch.
Les lampes fluorescentes contiennent une cathode qui va exiter et accélérer les électrons des atomes de mercure.
Après l’excitation des atomes de mercure, ils reviennent à leur état fondamental et émettent des photons dans les longueurs d’onde spécifiques du spectre du mercure. Les photons ont exactement le même potentiel d’énergie et vont à leur tour transmettre celui-ci à d’autres atomes de mercure qu’ ils rencontrent sur leur passage. Ils entrent donc aussi au fur et à mesure dans un état excité.
Le principe des états d’atomes excités est bien connu dans les réactions chimiques. La lumière des lampes fluorescentes, dans sa gamme de fréquences crée des raies d’émission typiques du mercure. Celles-ci sont bien connue de John Nash Ott, un des père fondateur de l’éclairage à spectre complet . Par conséquent, ce type de phénomène doit être précisé lorsque l’on pèse le pour et le contre de cette technologie.
Aujourd’hui, nous savons que la lumière visible traverse la peau du corps humain et pénètre sans problème dans les tissus adipeux. Même le crâne et le cerveau sont transparents à la lumière.
Le mercure est de plus présent dans l’alimentation, dans l’air que nous respirons et dans les obturations dentaires réalisées avec des amalgames métalliques et pénétre par cette voie dans le corps. Le mercure est un des métaux lourds toxiques les plus connus et son accumulation dans les tissus est difficule à extraire par la suite et dure longtemps.
Par conséquent, le corps l’accumule dans les tissus et diminue le métabolisme avec des effets dits « bradytrophiques » c’est à dire dont la digestion et l’assimilation est ralentie.
Les concentrations élevées de mercure se trouvent par exemple dans les couches de graisse situées sous la peau, dans les cheveux et dans le tissu du système nerveux comme le cerveau. La lumière au mercure passe à travers la peau et se retrouve au niveau des os du corps et peut contrecarrer les mécanismes d’élimination et de détoxification naturels de l’organisme.
La lumière naturelle du soleil produits des « raies de Fraunhofer » très différentes des ampoules économiques à tube fluorescent qui produisent des raies spectrales correspondant au mercure. La lumière du soleil est connue pourtant pour ses effets dans la diminution de la sensibilité aux éléments chimiques alors que la lumière artificielle au mercure active les réactions chimiques.
Article complet traduit en français sur l’hypothèse de la résonance du mercure et la lumière:
Lumiere au mercure – hypothese resonance PDF 0,31MB
Article original en allemand écrit par Alexander Wunsch:
Di Quecksilber resonanz hypothese PDF (0,28 MB)
Les journalistes indépendants ont la parole:
Journaliste indépendante réputée, Isabelle Masson-Loodts rédige de bons articles sur les thèmes de l’environnement, du jardin et de l’éco-consommation. Voici un de ses articles rédigé en novmembre 2010 sur les éclairages fluocompacts ou à LED et les effets sur la santé:
http://www.madamenature.be/
Associations internationales- Impact des rayonnements électromagnétiques des ampoules FLC:
http://www.criirem.org/
Quelques documents en français du criirem (France):
http://www.criirem.org/images/docs/lbc_arcacriirem_mise_en_garde_08-2007.pdf
http://www.criirem.org/images/docs/criirem_communique_lpbassconso.pdf
Lampes FLC: le mercure, les champs électromagnétiques mises au point de l’association next-up (France):
http://next-up.org/Newsoftheworld/LampeFluocompacte.php
http://www.diagnose-funk.org/
Lien principal vers des tonnes d’infos sur les effets des LFC:
http://www.diagnose-funk.org/technik/energiesparlampen/index.php
IGEF : http://www.elektrosmog.com
Deux documents en allemand de l’IGEF (Internationale Gesellschaft für Elektrosmog-Forshung) sur les LFC:
Vorsicht bei Energiesparlampen!
Mesures TCO de l’ingénieur Peter Schlegel
http://www.maes.de/
http://www.verband-baubiologie.de
http://www.baubiologie.de
http://www.baubiologie.fr
Comment les lampes à économie d’énergie peuvent-elles être dangereuses?
Une fois encore, il n’y a pas de consensus entre les responsables de l’éclairage et de la biologie de lumière: le spécialiste en biologie de la lumière considère les ampoules à filament fondamentalement différentes des lampes économiques (et les différences sont visibles dans le spectre de la lumière) alors que le technicien recherche plutôt l’économie d’énergie. Les dernières recherches ont cependant montré que les effets biologiques sont très différents.
Ainsi, une plus forte proportion de bleu est présente dans la lumière artificielle. Les conséquences sont d’augmenter la fréquence des maux chez les patients migraineux, comme une étude récente le décrit (1) . Il existe un mécanisme neuronal qui explique les exacerbations des maux de tête à cause de la lumière artificielle.
Ce qui est également recherché, mais beaucoup de spécialistes se taisent, se sont les nombreuses enquêtes sur les lésions occulaires chez les singes et autres mammifères sous l’influence de la lumière des lampes fluorescentes. Ils ont été testé avec exactement la même lumière artificielle produites par les lampes à aconomie d’énergie.
Depuis le 1er septembre 2010 l’ampoule de 75W est retirée du marché pour attirer l’attention des médias une fois de plus sur le sujet des lampes à économie d’énergie.
(1)Noseda, R., Kainz, V., Jakubowski, M., Gooley, JJ, Saper, CB, Digre, K. & Burstein, R., 2010 – Nature Neuroscience – A neural mechanism for exacerbation of headache by light, Nature neuroscience).